Une bonne action n'est pas toujours récompensé !

Nottinghamshire, Angleterre

Sean Carter était au volant de son véhicule quand il a été témoin d'un accident. Une voiture venait de faire trois tonneaux sous ses yeux. Il est sorti de sa voiture, a aidé le jeune conducteur à sortir de la carcasse et l'a invité à s'asseoir sur sa banquette arrière pour se protéger du froid en attendant les secours.

Quand ils sont arrivés, les urgentistes ont déclaré que le conducteur pouvait avoir été blessé à la colonne vertébrale et devait donc être extrait de la voiture à l'horizontale. Pour ce faire, ils ont donc dû découper le toit de la voiture. Le propriétaire du véhicule, catastrophé, pensait que ça serait l'assurance du blessé qui allait rembourser les frais, mais c'est la sienne qui a été contactée. Il a perdu son bonus et a dû payer près de 1 000 euros pour les réparations.

Après examen, il est apparu que le conducteur blessé n'avait aucun problème dorsal et a pu quitter l'hôpital dès le lendemain de l'accident.

Je pense que l'on ne prendra plus cette personne à aider son prochain !

La Ville souhaite rétablir les faits.

A la suite d’informations erronées qui ont été diffusées par certains médias, la Ville de Cesson souhaite rétablir la réalité des faits concernant l’incident qui a privé une élève de 6 ans de cantine jeudi dernier à l'école Jules Verne.

Dans les faits, l’agent chargé de l’appel à la cantine de l’école ce jeudi n’avait pas mis à jour sa liste. Aussi, quand l’enfant de CP concernée s’est présentée à la cantine jeudi midi, l’agent, ne voyant pas son nom sur la liste, lui a demandé de patienter dans la cour, pensant que cette enfant ne mangeait pas à la cantine ce jour-là et que ses parents viendraient la chercher. Par la suite, l’agent a oublié de vérifier que les parents étaient venus, ce qui constitue une faute grave. L’enfant est donc effectivement restée dans la cour sans manger.

La Ville de Cesson et son Maire, Jean-Marc Brûlé, tiennent à préciser certains points qui ont fait l’objet d'erreurs dans la retransmission de l’information :

* L’enfant n’est pas restée seule dans la cour. Le repas étant donné en deux services, il y avait en permanence d’autres enfants dans la cour de récréation, avec lesquels l'enfant concernée est allée jouer. Fondue dans la masse, c'est ainsi qu'elle a pu être oubliée.
* Surtout, l’enfant n’a en aucun cas été privé de repas de façon intentionnelle. Cet accident relève d’une négligence grave de l’agent concerné. Mais en aucun cas une consigne municipale n’a été donnée qui ait pu conduire à cet incident. A aucun moment, la Ville n'a autorisé ses agents à priver de repas un enfant pour quelque motif que ce soit, qu’il s’agisse d’un défaut d’inscription ou de paiement.
* La réaction de la Ville été immédiate. Dès qu’ils ont eu connaissance des faits, le Maire et son adjoint ont reçu la famille, pour comprendre ce qui s’était passé et prendre les mesures qui s’imposent. Des excuses ont été présentées au nom de l’institution. L’agent concerné a été convoqué immédiatement.
* La Ville condamne sévèrement et sans hésitation cette erreur grave, due à une application stupide de règles arbitraires. L'agent a été suspendue immédiatement, et encourt des mesures disciplinaires qui pourront être prises dans le respect des règles de la fonction publique.
* Enfin, il s'agit d'éviter que se reproduise ce genre d'incidents, à tout jamais. La nouvelle règle est la suivante : si un enfant se présente, ou si un enfant semble rester seul à l'heure de la cantine, il sera systématiquement pris en charge, et il lui sera proposé de se restaurer, qu'il y ait doute ou défaut d'inscription. La bonne foi est du côté de l'enfant et des parents, pas du système et de l'administration

Dans ce sens, l'ensemble du personnel concerné a été convoqué à une réunion avec le Maire pour discuter de l'application des nouvelles règles et la mise en oeuvre d'une nouvelle approche.
Par ailleurs, on ne peut que constater que l'enfant, qui avait logiquement faim, n'a pas été prise en charge de ce point de vue pendant l'après-midi qui suivit. Sur ce sujet, c’est à l’Education Nationale de se prononcer sur l’attitude des enseignants face à cet incident, dans la mesure où ceux-ci ne sont pas placés sous l’autorité de la Ville.
Le Maire de Cesson, Jean-Marc Brûlé, invite chacun à la plus grande objectivité dans la retransmission des informations sur cette affaire, et à rester au niveau des faits.
Il invite aussi à réfléchir sur un système qui sépare la gestion de la cantine de la gestion de l'école, et des dysfonctionnements inévitables qui en découlent.
Enfin, il s'interroge sur la nature d'une époque où l'on se soucie plus de l'application des règles que d'un souci naturel du bien-être de chacun, et où un enfant se retrouve à ne pas manger parce qu'il n'est pas sur une liste...

Sources : http://www.ville-cesson.fr/actualites/vie-municipale/affaire-de-la-cantine-de-lecole-jules-verne/

Interdite de cantine, elle se retrouve seule dans la cour par -4°C

Jeudi, en sortant de l’école de Cesson, (Seine-et-Marne), la petite Maureen, 6 ans, a dit à sa maman, en grelottant de froid : "J’ai faim".

Bien entendu, de nombreux enfants à cet âge ont faim quand ils sortent de classe.

C’est l’heure du goûter…

Mais si la petite Maureen, jeudi, avait faim, c’est qu’à midi on ne lui a donné à la cantine, pour toute nourriture, qu'un biberon de lait et un petit gâteau…

A la suite d’une erreur d’un agent municipal, la fillette a été privée de cantine et s’est retrouvée dans la cour, seule, en plein froid par - 4°C, au moment où ses copains et copines se restauraient à la cantine du groupe scolaire Jules-Verne, relate Le Parisien.

Que s’est-il passé ?

Son papa explique dans le quotidien que quand sa "fille s’est présentée à la cantine à 11 h 30, l’agent lui a dit qu’elle n’était pas inscrite et lui a demandé d’aller jouer dehors en attendant que les autres mangent".

En colère.

La maman est en colère, car quand sa fille est rentrée en classe à 13h 30 "elle a confié à la maîtresse qu’elle n’avait pas mangé. On lui a dit qu’il ne restait plus de nourriture. L’enseignante aurait au moins pu m’appeler ! J’habite à 50 m de l’école, je lui aurais apporté un repas !"

Les sanctions tombent.

L’agent communal a été suspendu, hier, pour trois jours à compter de lundi, explique Le Parisien. Par ailleurs une procédure disciplinaire a été engagée, toujours selon le quotidien.

Que dit la mairie ?

Du côté de la municipalité on reconnaît "une erreur matérielle et humaine".

Lylian Sénéchal, adjointe au maire chargée de la petite enfance précise dans Le Parisien que "l’inscription a bien été prise en compte au téléphone, deux jours avant. Mais l’information n’a visiblement pas été transmise correctement".

Mais les parents de la petite Maureen n’ont pas du tout l’intention de laisser passer cette affaire: "Nous allons prévenir l’inspection d’Académie". Car pour le papa de Maureen, "ce genre de comportement est inadmissible. Il ne faut pas que ça se reproduise ailleurs, avec d’autres enfants".

Sources : Le Post

Ce qui s'est passé est choquant et inadmissible à bien des égards.

En effet, prendre des mesures drastiques en cas de non payement ou non inscription répétées de la part des parents peut être justifié. Mais ce n'était apparemment pas le cas !

Le plus choquant est le choix délibéré de laisser une fillette de 6 ans dehors toute seule sans surveillance dans la cour (fort heureusement, elle ne s'est pas blessée et il ne s'est rien passé de fâcheux) ... d'autant plus que la température était alors de -4° C !

Il faut vraiment ne pas avoir de cœur pour traiter une enfant de la sorte !

Un TGV en feu à "l'insu du plein gré" du conducteur

"Ce samedi matin, vers 10h 45, à hauteur de Pont-de-Veyle, dans l’Ain, une motrice du TGV Nantes - Bourg-Saint-Maurice a pris feu."

Sources : Le Post

D'une part on peut se demander pourquoi un TGV peut prendre feu en roulant.

Mais on peut surtout s'interroger sur les dispositifs de sécurité !

En effet, le conducteur n'était pas conscient du problème. Comment se fait-il que sur le bijou technologique de la SNCF, il n'y ait aucune alarme pour prévenir le conducteur d'un incendie à bord ?

Que ce serait-il passé pour les passagers si un chef de gare ne l'avait pas prévenu ?

Fort heureusement, cette information a fait la une des actualités insolites plutôt que la une des actualités tragiques.

Vive les soldes !